En Rdc, précisément à Kinshasa, un nouveau slogan a vu le jour depuis un bon moment et fait le buzz. « Nde Tozo Boya » ( ce que nous n’admettons pas).
L’ampleur de ce slogan monte en puissance du jour au lendemain sur les réseaux sociaux.
Origine
Comme tout phénomène, cette phrase à succès n’est de l’apanage de personne. Son origine n’est pas connue. Mais elle est usuelle dans l’actuel vocabulaire kinois.
Champ d’actions
Sur la toile, les internautes rattachent quelques antivaleurs à cette phrase pour les dénoncer.
Certains sont allés plus loin en faisant un collage de cette expression sur une capture du panneau de l’équipe de campagne du changement de mentalité de la présidence de la république.
« Miyibi Nde Tozo Boya, Tika Koyiba » ( les voleurs, c’est ce que nous n’admettons pas, cesse de voler) ». Lit – on sur le montage d’une capture de la campagne du panneau de changement de mentalité de la présidence, affiché dans un coin de la ville de Kinshasa.
En effet, ce vent n’a pas laissé indifférent le chanteur congolais, Dadju Djuna. Sur sa sorty Instagram, il a lui aussi fait usage de cette expression. « Ba Charlatan ya boye nde tozo boya » ( c’est ce genre de charlatan que nous n’admettons pas) ».
Avec l’avènement des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC), généralement tous les phénomènes y surgissent. Ils se déroulent souvent sur la toile et se répand dans le vocabulaire de tout un chacun.
Il ya près d’un mois, un autre phénomène avait vu le jour sur le net, il s’agissait d’un recours à l’authenticité. On modifiait les photos couleurs en noir et blanc. On rattachait un message dessus en rapport avec un vieil événement, en retournant dans le passé. À l’occurence : « Voici x, c’est le premier africain à avoir mangé la viande de porc grillée à laide d’un barbecue en 1912.
À Kinshasa comme partout au Congo et dans le monde, les phénomènes naissent et disparaissent. « Nde Tozo Boya » fait carton plein sur les réseaux sociaux à Kinshasa.
Jegou – Miguel
