Il semblerait que la plupart d’artistes musiciens congolais sont obligés de toucher aux fétiches ou se lancer dans des pratiques immorales pour avoir du succès et rester longtemps possible dans l’actualité.
Lors de sa sortie médiatique dimanche dernier dans l’émission B-One Music, Gally Garvey a soutenu qu’il est souvent invité de toucher aux gri-gri pour booster sa musique.
» On me les propose tout le temps ! Mais j’observe d’abord l’efficacité de la chose et si je trouve que je suis plus efficace, je n’y touche pas ! « ,
a lâché Gally Garvey à son passage dans l’émission B-One Music le dimanche dernier.
Et d’ajouter : » Je n’ai pas touché à la plupart de ceux qui m’ont été présenté « , a renchérit l’artiste au cours de cette émission.
Le travail, un passage obligé pour avoir du succès
D’après le jeune artiste Gally Garvey, la musique ne marche pas par les fétiches mais plutôt en travaillant et ayant la détermination.
» Les fétiches pour te protéger. Mais chacun a ses croyances et on sera juger par rapport à cela ! Dans mon expérience, je ne penses pas que la musique dépend aux fétiches, sinon tous ceux qui en ont touché avant seraient encore d’actualité aujourd’hui « ,
s’est confié Gaga au journaliste Papy Mboma.
Avant de conclure : » Je crois qu’on a besoin de la voix, du travail et de la détermination, et puis ça va marcher ! «
Rappelons que Gally Garvey était récemment en séjour sur le territoire français pour les travaux de finissage de son album » Amour et moi « qui sera dévoilé au public ce 25 Novembre.
Joslin Mpoy