On aura beau assisté à l’affaire qui oppose Gauthier Sey et Fally Ipupa. Quoi qur ce dossier demeure sur la table du juge du tribunal de Gombe, Christian Bosembe, président du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC) prend la parole pour émettre son commentaire.
Invité ce vendredi 13 octobre sur le plateau de l’émission « Bosolo na politik », le numéro de cette boîte de régulation de médias a emprunté un chemin pacifique contrairement aux protagonistes.
« Fally Ipupa est l’une des merveilles de notre pays. Il n’a plus rien à prouver en terme de musique. »
A-t-il dit au préalable avant d’inviter l’artiste à faire recours à la télévision à la télévision pour un droit de réponse s’il se sent lésé par un professionnel de médias ou qui que ce soit.
Le président du Conseil de l’audiovisuel a cependant convier l’interprète de « Mayday » a le saisir plutôt si son droit de réponse n’est pas garantie.
« Nous le CSAC nous sommes là pour concilier les vues. » A-t-il ajouté.
S’agissant de Gauthier Sey, Bosembe a tout d’abord fustigé certaines démarches qu’empruntent souvent des journalistes pour passer leurs informations.
« De fois, les journalistes parlent mal des gens et Quand on leur pose la question, ils cherchent à changer pour signifier qu’ils font allusion à d’autres personnes » a fait savoir Bosembe.
Par cette sortie médiatique, l’ancien journaliste de Congo Web entend trouvée gain de cause dans cette affaire. Concilier les vues et le retrait de la plainte de Dicap font partie intégrante de son visé.