Les agents du Parquet de Grande Instance de Kinshasa-Gombe ont mis la main ce mercredi 08 juillet sur Ali El Finesh. Ce dernier a obtenu un prêt du Fonds de Promotion de l’industrie sans et s’est éclipsé dans la nature.
Ce recherché libanais a été appréhendé dans sa cachette dans une résidence près le mosquée au quartier Basoko, dans la commune de Ngaliema.
De ce fait, c’est depuis 2012, que le libanais Ali El Finesh, a obtenu un prêt d’au moins 2,8 millions de dollars au Fonds de Promotion de l’industrie.
Dans le même contexte, selon Scooprdc.net, ce sujet asiatique avait obtenu cette grande somme d’argent sur base d’un faux certificat d’enregistrement au nom d’une haute autorité du pays qui jusque-là n’est pas dévoilée.
Nos confrères ont par la suite ajouté que après une vérification soutenue, par le comité de gestion actuel du FPI, il s’est avéré que le certificat hypothéqué était un faux que la haute autorité précitée ne reconnaît pas le lui avoir remis. Et chaque fois que l’on tentait d’interpeller le fugitif, il bénéficiait d’une protection de certaines autorités qui intervenaient.
Ils soutiennent qu’avec le changement des régimes, le Parquet a finalement mis la main sur lui ce jour.
Au demeurant : « Que tous qui se croient encore être des intouchables, comprennent que les temps ou les choses ont changé et il est temps que le FPI soit rétabli dans ses droits par rapport à tous ceux ont contracté des crédits auprès de cette institution qui appartient à l’Etat congolais, l’état de droit oblige », a déclaré l’un des avocats du FPI.
Le même juriste a par la suite indiqué que le Parquet n’a plus droit à l’erreur parce que les yeux des congolais sont braqués sur lui pour que le FPI obtienne une décision juste.
Jegou – Miguel