Lema Mabidi au sujet d’une prétendue fuite à l’As V Club: « Je n’ai pas jamais fuit à l’As Vclub, mais mon transfert a été effectué normalement »

Redaction Mbote
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Au cours d’un live sur le compte Instagram de Mbote, l’international congolais Lema Mabidi a enfin brisé son silence concernant l’histoire d’une quelconque fuite après la Can alors qu’il était en plein contrat avec l’As Vclub.

Le champion d’Afrique 2018 – 2019 avec le Raja Casablanca a confessé au cours de ce live Instagram, qu’il a été transféré dans les normes au club Sfaxien, et qu’il n’a jamais fuit l’As Vclub comme cela était sous entendu depuis un temps chez les amoureux du football congolais.

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« Lors de la Can, alors qu’on était en préparation au Cameroun, le coach Florent Ibenge va m’informer que les deux clubs africains se discutent pour mon transfert notamment l’Al Ahly et le Club Sfaxien. Quelques jours après un des nos dirigeants va nous appeler pour me dire que le Club Sfaxien a mis un bon pack pour m’avoir. En demandant conseil au près du coach, il m’exhorta de choisir le club tunisien vu le niveau de leur football qui prenait l’ascendance sur le football égyptien. » A expliqué Lema Mabidi

Au sujet de savoir, si après avoir mis fin à son contrat avec le club de raja, il a été contacté par les dirigeants de l’As Vclub, Lema Mabidi a dévoilé qu’il était bel et bien contacté par les dirigeants du club vert et noir de Kinshasa, conscient de la poursuite de son objectif à l’étranger, il a décliné cette possibilité de redevenir dauphin noir.

 » J’ai été bel et bien contacté par les dirigeants de l’As Vita Club, mais je n’ai pas voulu y revenir suite à mes raisons personnelles voire la qualité du football du Congo. Ce dernier n’est plus à mon niveau » a-t-il avoué.

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Concernant son parcours à l’étranger (au Maghreb ndlr), celui qu’on appelle communément Chikito a révélé qu’il a beaucoup appris de ces clubs, en dépit des difficultés liées à une faible rémunération.

Pour ce qui est de l’évolution du football congolais et de l’équipe nationale, le nouveau joueur d’un club Azerbaïdjanais a brandi les fétiches ou les gris gris comme le seul responsable de son inertie.

« Ce qui tue le football de notre pays, c’est le gris gris, les joueurs sont plus focalisés à ça qu’au travail, or le principal secret qu’un footballeur peut avoir, n’est rien d’autre que les entraînements. » A conclu l’international congolais.

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