En début de leur plaidoirie. Les avocats conseils de Vital Kamerhe sont revenus sur les mots du ministère public déclarant que ce procès ne s’agit pas de brandir les pièces contre pièces.
« Nous avons entendu ici qu’il n’est pas question des pièces contre pièces…Si vous n’avez pas des pièces, vous les versez ». A répondu à ce collectif au ministère public.
Il a ensuite ajouté que la valeur d’un jugement à travers le monde repose sur la confiance qu’ont les parties opposées au juge et aux règles.
Par ailleurs, le procès se poursuit avec la plaidoirie de la partie concernée du directeur de cabinet du président de la république.
Jegou – Miguel