L’affaire Zacharie Bababaswe contre les communicateurs de Wenge Musica Maison Mère, soit Sankara Dekunta et Trésor Lumière, prend de plus en plus des proportions inquiétantes. Lors d’un live publié sur sa chaine youtube ce vendredi 25 Mars 2022, le député honoraire Zacharie Bababaswe a fait une mise au point à l’intention des personnes précitées qui l’ont sévèrement attaqué l’accusant d’avoir truqué la liste des artistes devant prester à l’Exposition à Dubaï 2020 en enlevant le nom de Werrason. Les explications de chaque camp n’ont suffi pour clarifier la situation. Et très, les insultes s’en mêlées d’où l’ancien député promet de se faire justice lui-même pour sa dignité qu’importe le prix que ça lui coûterait.
Zacle comme il se fait appeler familièrement n’entend pas laisser passer les humiliations que les deux communicateurs de l’orchestre Wenge Musica Maison Mère (WMMM) lui ont fait subir en l’insultant à travers les médias. Il en appelle à la justice congolaise pour une intervention afin de faire entendre raison aux deux personnes qui lui en veulent.
« Au nom de ma dignité, Je n’accepterais pas des gens qui n’ont aucun niveau que moi ni scolaire et compétences venir saper ma réputation. J’ai une femme, des enfants, une belle famille. J’accepte d’aller à la prison de Makala, tout doit se régler. Sankara Dekunta passe à la télévision pour m’insulter, la justice du pays voit, les politiciens également et tout le monde les encouragent. Ok, j’ai déjà 58 ans d’âge et j’ai mes produits de prévention contre la tension artérielle que je consomme et je préfère aller à Makala pour ma réputation qui est salie par des gens qui ne peuvent pas s’approcher de mon niveau. Je connais comment Werrason fonctionne. C’est lui qui envoie Sankara Dekunta pour m’attaquer. Et Trésor Lumière ne peut pas faire son émission Zamba Zamba sans Werrason », lâche-t-il
Le concepteur du magazine « Journal en lingala facile » soutient que tout ce qui s’est passé devrait être placé sous la responsabilité de Igwe de la foret qu’il accuse de se cacher derrière ses communicateurs pour les pousser aux insultes.
Hervé Kabwatila