Le patron du Quartier Latin International, Koffi Olomide était, ce dimanche 30 Janvier, l’invité de l’émission « Entre Nous » de la chroniqueuse Ingrid Kabongo. L’artiste musicien a partagé avec le public sur quoi portait son mémoire de fin d’étude, une vision qu’il avait pour le bien de tout le peuple zaïrois de l’epoque.
A la question de savoir comment est-ce qu’il a eu le gout de commencer à faire de la musique alors qu’il revenait de l’Europe où il a pu finir ses études, Boss ya mboka révèle avoir défendu un mémoire qui devait servir le peuple zaïrois, mais dommage que cela n’ait jamais été pris en compte, et le peuple reste malheureux : « Mon mémoire de fin d’étude était la commercialisation des matières minières du Zaïre un atout pour le pays, mais aujourd’hui ce n’est pas un atout, car le peuple n’en profite pas », explique-t-il
Dans le même ordre d’idées, le grand Mopao a fait savoir que ce sont ses amis et son grand frère qui l’ont poussé à entreprendre une carrière solo après son retour de la France avec son diplôme de licence en poche.
« Mes amis ainsi que mon grand frère Johnny m’ont dit en attendant que tu te trouves un boulot, tu peux déjà faire les enregistrements des quelques morceaux (puisque je faisais des bons poèmes en dehors des chansons que je donnais aux gens. J’aime aussi jouer au scrabble et je passe tout mon temps à écrire et à lire) » déclare celui est finalement devenu la légende de la musique congolaise et africaine.
Hervé Kabwatila