Lors de son récent passage à l’émission « Equilibre TV », le célèbre pasteur de l’Église Arche de Noé, Denis Lessie a fait une révélation sur son appel au ministère quand il était en France, précisément dans la ville de Paris, où il fait la rencontre d’une femme pratiquante de la Kabbale juive qui lui a fait des propositions pour avoir plus d’influence au monde.
L’homme d’écran prophétique a laissé entendre, au cours de cette interview, qu’à travers la sollicitation de cette femme occultiste qui s’est intéressée à son ministère, il lui a été proposé de collaboration pour accéder à la gloire du monde, mais il avait refusé puisque qu’il se contente des avantages qu’il a facilement.
« J’ai rencontré un jour une femme qui pistonne les pasteurs. Elle est dans la Kabbale juive mélangée avec la science occulte. Elle est venue me voir à l’hôtel ou j’étais à Paris pour me dire qu’elle et son réseau me suivaient depuis un bon moment. Elle m’a dit tu remplis des stades, tu fais beaucoup des choses, on veut te donner de la puissance. Et tu auras 300.000 euros par mois multipliés par 10, tu as 3.600.000 et 4 véhicules. Par trimestre, tu en donneras 1 à chacun de tes enfants, mais à une seule condition « donne nous toutes les caméras de ton église et envoie nous seulement les images et nous allons les tuer et toi on va te laisser vivre. Et tu vas acheter les tombes pour les fidèles, c’est à dire un cimetière pour l’église. S’ils meurent, c’est toi qui va les enterrer. Donc c’est eux qui doivent choisir qui va mourir », explique-t-il
En poursuivant ses propos, le patron de la chaine de télévision Nzondo TV a rajouté : « Je leur ai dit qu’avant que vous me donniez cette somme d’argent, j’ai la facilité d’accès à toutes ces choses, elle m’a dit que tu es têtu et c’est alors qu’elle m’a cité les noms des quelques pasteurs qui sont dedans. Donc là-bas, si tu entres ils te trompent que ce sont les fidèles qui vont mourir, mais en réalité c’est toi. Voilà pourquoi tu verras un pasteur qui se marie aujourd’hui, et demain il meurt, les pasteurs des églises du Congo », conclut-il
Hervé Kabwatila