Koffi Olomide : “Même s’ils combattent mon concert à l’Hippodrome, ils doivent savoir que ce concert aura lieu”

Redaction Mbote
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Invité ce dimanche sur le plateau de l’émission B-One Music, la star de la rumba congolaise Koffi Olomide a abordé sa longévité exceptionnelle dans le paysage musical africain, ainsi que les critiques entourant son prochain grand concert prévu le 19 juillet à l’Hippodrome de Vincennes, en France.

Une carrière remarquable de plus de 40 ans

Avec plus de quatre décennies de carrière à son actif, Koffi Olomide s’impose comme une figure incontournable de la scène musicale africaine. Lors de son passage à l’émission, l’artiste a tenu à rappeler son parcours remarquable, soulignant qu’il fait partie des rares musiciens à avoir traversé les époques.

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“Tous ceux qui connaissent doivent savoir que nous ne sommes pas deux ou trois à avoir traversé les époques”, a-t-il déclaré, attribuant sa longévité au travail, à la résilience et à l’innovation permanente.

Une réponse ferme aux critiques sur son concert

Alors que certaines voix s’élèvent pour contester l’organisation de son concert à l’Hippodrome de Vincennes, Koffi Olomide reste déterminé à aller au bout de son projet. “Même s’ils combattent mon concert à l’Hippodrome, ils doivent savoir que ce concert aura lieu”, a-t-il assuré.

Connu pour son franc-parler, le “Mopao Mokonzi” semble bien décidé à poursuivre sa quête de succès à l’international, malgré les obstacles. Ce spectacle s’inscrit dans la lignée de ses précédentes performances à succès, visant à rassembler la diaspora congolaise et les mélomanes autour de son riche répertoire, entre classiques et nouveautés.

Une légende toujours debout

À 68 ans, Koffi Olomide ne montre aucun signe de fatigue. Il reste extrêmement actif sur scène, en studio et dans les médias, s’imposant comme l’un des rares musiciens congolais à avoir traversé plusieurs générations tout en restant au sommet de la rumba africaine.

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Cette interview témoigne de la détermination et de la volonté de fer de cette légende vivante, qui entend bien continuer à marquer de son empreinte l’histoire de la musique congolaise et africaine.

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