La participation d’Aya Nakamura à la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024 a suscité de nombreuses spéculations. Lassée des rumeurs, la chanteuse a tenu à rétablir les faits sur les circonstances de sa rencontre avec le président Emmanuel Macron.
Invitée à se produire lors de la grand-messe olympique, Aya Nakamura a fait l’objet de vives critiques de la part de certains internautes et de l’extrême-droite. La raison ? Les médias avaient évoqué une possible intervention d’Emmanuel Macron pour qu’elle interprète un titre emblématique d’Edith Piaf.
Mais dans un live sur ses réseaux sociaux, la star a tenu à clarifier les choses : “Quand je vais à l’Élysée voir Emmanuel Macron, il m’invite (…) Mais il ne m’a pas imposée Edith Piaf. C’est faux !”
Selon Aya Nakamura, le président l’a simplement interrogée sur les artistes qu’elle appréciait, et elle a effectivement cité Edith Piaf, “une grande artiste”. Mais le choix du show pour les JO était déjà acté, indépendamment de cette discussion.
“Il m’a demandé qui j’aimais bien, est-ce que j’aimais Edith Piaf, j’ai répondu : ‘oui’. Mais il n’était pas question d’Edith Piaf. C’est au Vogue World que je devais chanter du Edith Piaf”, a-t-elle précisé.
Finalement, Aya Nakamura a interprété ses propres titres, comme “Pookie” et “Djadja”, avant de revisiter “For me formidable” de Charles Aznavour, lors de la cérémonie d’ouverture.
Cette mise au point de la chanteuse vise à démentir les rumeurs qui l’ont accusée d’avoir cédé aux pressions du président. Elle a tenu à souligner que le choix de sa participation et de son répertoire était le fruit d’une concertation, sans aucune ingérence extérieure.
Une clarification nécessaire pour Aya Nakamura, qui a dû faire face à de vives critiques avant de briller sur la scène olympique aux côtés d’autres artistes de renom.